Bonsoir,
“les anciens en parlent ! témoignages transmis par un blog ami ….”
“Rue du Touquet
il y avait un débit de boissons et une mercerie (dans les années 1950) tenue par Madame BOSSU.
Je pense que la boulangerie a du s ‘installer après.
Sur le même trottoir, avant le croisement avec la rue des Piats, il y avait un autre débit de boissons ; là, régulièrement, le brasseur venait livrer sa bière avec une charette tirée par 2 chevaux.Je passais toujours en courant ces jours-là … j’avais peur de recevoir une ruade ,car les chevaux ,quelquefois impatients d’attendre, raclaient le sol et faisaient beaucoup de bruit.
T.R.
En ce qui concerne la rue du Touquet, je me souviens très bien de presque tous les commerces puisque je suis née rue d’Orléans où j’ai habité quelques années et ensuite rue du Touquet.Je suis la fille de Madame BOSSU qui tenait la mercerie.
En venant de la rue des Piats sur la droite il y avait sur le coin le café PALMYRE puis un peu plus loin rue du touquet une petite buvette où le brasseur venait livrer avec des chevaux, plus loin la mercerie de ma Maman, un peu au dessus le boulangerie LAGACHE puis le café PANNECOUCKE et encore plus loin avant la rue Lavoisier l’entreprise SIMON carrelages.
Toujours en venant de la rue des piats sur la gauche, à l’angle la quincaillerie SELOSSE, au dessus il me semble dans une petite maison particulière un petit cordonnier, à l’angle de la rue de Rome la COOPERATIVE,
Sur le même trottoir avant la rue d’Orléans un vannier Mr DEKENS et ses 2 fils, sur le coin de la rue d’Orléans une épicerie VANASSCHE, reprise par la suite par Mme DERMAUT,
Après la rue d’Orléans la Cordonnerie dont le monsieur était handicapé ( je ne me souviens plus le nom ) ensuite la maison VAN MEENEN pain d’épices dont le siège était je crois rue Augereau et entre la rue Lavoisier et la rue Jeanne d’arc il y avait aussi une boucherie.
L’épicerie DESPRETS était je crois rue des piats à côté de la Cour St louis.
Voilà tout ce dont je me souviens peut être en ai-je oublié ! Dans ce temps là, les rues des piats et du Touquet étaient fort commerçantes, maintenant il n’y a pratiquement plus rien.
MT S.
Je continue la visite de la rue.
On en était arrivé rue Jeanne d’Arc.
Reprenant le trottoir de droite, après la rue de l’Epine, on tombe sur la cotonnière du Touquet …
Je crois. Ce qui me frappait à chaque fois, en rentrant de l’école, c’étaient les ouvrières de l’usine ; l’été, elles mangeaient leurs sandwichs dehors sur le trottoir ; leurs cheveux étaient remplis de fibres de laine.
Sur la gauche à l’angle de la rue de Bouvines, se tenaient les Ets Blain et un peu plus loin, le café “Les 3 Cloches “;
Revenant à droite, la rue Augereau ; après l’angle, l’épicerie tenue successivement par les demoiselles COMYN, Mr et Madame DUJARDIN et Mme KATARZINSKI.
A la suite,le cercle St Jean Baptiste où avaient lieu, entre autres, les repas des Kermesses annuelles, et aussi les joueurs de bourles ;
A côté, le presbytère et la salle paroissiale. Ensuite l’église St Jean Baptiste.
Face à l’église, les carrelages DUJARDIN et l’épicerie WILLEMS à l’angle de la chaussée Berthelot.
Après cela, trottoir de droite, la boucherie BOTTEZ. A cette époque, la rue se terminait en impasse côté boucherie , mais à gauche, débouchait la rue des Trois Pierres. J’ai sans doute oublié quelques usines sur la route, car il y en avait plusieurs dans cette partie-là de la rue.
T.R.
En ce qui concerne la rue du Touquet après la rue Jeanne d’Arc, sur le coin de la rue du Touquet et la rue lavoisier il y avait aussi une usine (FLIPO) ainsi que sur le coin de la rue du Touquet et Jeanne d’arc l’usine LEURENT je crois, en face de la cotonnière. Rue de Bouvines ( REQUILLART).”