Bonsoir,
- En fin d’aprés midi , j’ajoutais le commentaire suite au message “Merci pour les encouragements du 1 mars 2013 ” :
“Voici un extrait d’un message d’un lecteur envoyé par mail :
“Capiau bas à ceux qui s’intéressen’t au Virolos
Jamais j’aros cru cha!
Un quartier qui n’a intéressé personne pendant des dizaines d’années.
Enfin, on parle aussi, chez nous, et pas seulement en Angleterre ou en Belgique, de protection d’usines, de cheminées, de patrimoine ouvrier!
Malgré toutes les démolitions, le quartier reste un miroir assez fidèle de l’architecture fin 19è- début 20è.
Acor enn fos, bravo!”
Merci à lui”
- je viens de recevoir le mail suivant :
” Me voilà replongé en pensée dans le Virolois d’autrefois.
Né en 1962, j’ai connu un quartier possédant encore des commerces. Il y avait rue du Virolois, en partant de la place des Piats, direction Boulevard Industriel (que mon grand-père, né en 1903, a vu construire):
-Un coiffeur italien sur le coin côté gauche
-Un électricien (qui vendait du Butagaz, l’enseigne est restée très longtemps) sur le coin de la rue Jeanne d’Arc
-En face (côté ex-MJC et parc) en café (enseigne métallique Bière de Champigneulles)
-Un cordonnier (Marcel) après mon école maternelle, l’une des (2?) maisons disparues au début des années 1980 pour constituer le square Rue de Creil
-Un atelier d’encadrement au débouché de l’impasse Duthoit (Joseph… Duthoit)
-Une épicerie sur le coin de l’impasse Duthoit (Lucienne)
-2 ou 3 maisons plus loin, un commerce de charbons (Charles Perche et sa maman Andréa)
-Une autre épicerie quasiment contiguë: ex-Docks du Nord, puis Unico (Yvonne, aidée de sa belle-fille(?) Jeanine Cucheval)
-Un peu plus loin, non loin du débouché de la rue Henri Carrette, une boulanger (Catteau)
-Un boucher (Georges) sur le coin de la rue du Touquet
-Un autre café sur le coin de la rue en face de la ferme (ma tante, petite, y allait chercher du lait)
J’ai connu plus tard sur le terrain derrière la petite chapelle, le long du Bd Industriel (chaussée Berthelot) , un immense hangar gonflable de la firme Hoechst, qui, lui aussi a disparu.
Espérant que ces quelques souvenirs auront ravivé la mémoire d’autres personnes.
E.D.”