Jusqu’à la fin du XIXe , la puissance agricole reste importante (engrais, nombre de culture réduit, élevage, …) alors que tout est fait pour le développement industriel.
Les dizaines de milliers d’ouvriers de Roubaix-Tourcoing-Lannoy, dans le 2nd moitié du XIXe siècle permettent de constituer un haut lieu de l’industrie textile.
En 1900, à Tourcoing, les Etablissement Tiberghien frères emplois 2500 personnes répartis entre la filature, le peignage, la teinturerie et l’apprêt de laine.
En Mars 1923, « Le Monde illustré » célèbre encore « la maison Tiberghien frères qui achète la laine sur le dos des moutons et la rend au commerce transformé en tissus livrable au tailleur.
Le réseau de voies navigable existe mais n’est plus adapté au besoin d’une économie en pleine croissance.
Je relève ses phrases :
“A la fin du siècle (XIXe)
… les entreprises du secteur textile sont elle encore en trop grand nombre et de trop petite taille, conservant le statut ancien de société de personnes, refusant de se spécialiser et travaillant à la demande.
Dans les filatures de coton, la force motrice est fournie par des machines à vapeur souvent périmées. Dans les tissages, seuls quelques établissements sont vraiment modernes. Trop souvent, les industriels cherchent la cause s de leurs déboires dans la concurrence étrangère et se réfugient derrière des comportements protectionnistes. … »
« … si le patronat textile e Lille-Roubaix-Tourcoing vit localement sur son acquis mais s’implante à l’étranger. …. »