Les véhicules et matériels des pompiers d’Hier à aujourd’hui
Quel garçon (ou fille) n’a pas jamais rêvé en voyant passer un camion de pompier ?
J’ai déjà dit quelques mots sur les pompiers à Tourcoing, je continuerai bientôt.
Mais voici le début de leur histoire :
Il y a bien longtemps, il n’y avait pas de caserne : des sceaux en cuir étaient déposés chez un certain nombre d’habitants.
En 1701, les échevins de Roubaix et Tourcoing mettent en place une convention entre les 2 villes pour s’entre-aider, au cas où un feu se déclarerai dans l’une ou l’autre.
En 1805, Tourcoing achète une ancienne pompe de Lille . Elle était servie par une escouade commandée par M. RICHARD, maître menuisier.
En 1822, 2 escouades sont formée et commandées par M. Eugéne MOREL.
Le 31 octobre 1824, une décision ministérielle autorise la création d’une compagnie de 38 hommes pour servir les 2 pompes. Elle est dissoute en 1831 par le Maire Auguste CORDONNIER pour en faire une compagnie spéciale de la Garde Nationale. Ce n’est qu’en 1838 que la Municipalité prend en charge le matériel et les habillements.
En 1838, la compagnie commandée par M. Henri DERVAUX est forte de 138 hommes et de 5 pompes.
En 1844, M. DARRAS-LEMAIRE devient commandant et M. DERVAUX capitaine d’une compagnie de 132 hommes.
En 1848, le ministre de l’Intérieur envoya un drapeau au corps de sapeur-pompiers de Tourcoing en remerciement de leur intervention de l’insurrection à Paris en juin 1848.
En 1853, son effectif est porté à 150 hommes et son nombre de pompes à 7.
Suite dans un prochain article.
Mais aujourd’hui, avec les photos, ci dessous, des véhicules d’hier à Aujourd’hui de la caserne de Dunkerque prises par Histoire du Nord, je lance un appel pour les photos des véhicules de Tourcoing au fil des années (des sceaux en cuir de la pompe à main achetée à la “caserne de Lille” aux camions d’ aujourd’hui).
je suis tonnellier à la Martinique et je réalise des instruments de percussion en chêne récupérer dans les distillerie de rhum