Histoire du Virolois : les fermes

Bonsoir,

ferme1_Le Nord au XIX les chemins de la Ménoire Paul Joanne

Voici une adaptation d’un texte de « G. MARGUERIT A travers la France maritime » trouvé dans le livre “La vie quotidienne dans le Nord au XIXe siècle, Artois – Flandre-Hainaut-Picardie  Pierre Pierrard Ed .HACHETTE”

Les fermes sont souvent placées dans une pâture, sur  des propriétés très peu cultivées par leur propriétaire. (Seuls 20 % le fond).

Il en existe principalement de 2 types.

 

Premier type

ferme4_Le Nord au XIX les chemins de la Ménoire Paul Joanne

 

Elles tournent le dos au Nord en lui opposant un toit très bas descendant jusqu’à terre grâce aux appentis.

Les salles au Sud sont hautes  pour avoir de l’air. Tandis que celles du nord sont basses pour se protéger du froid.

A l’Est et à l’Ouest, se trouvent les pignons de l’habitation avec un toit en pente, une construction annexe. (Les joints des portes et fenêtres n’étant pas étanches, la façade ne peut être exposée aux vents dominant).

Voici sa composition :

* Extérieurement, elle se compose :

– D’un simple rez-de-chaussée rectangulaire (12 x 8m environ),

– D’une usine en Hache au milieu de la façade arrière.

– Les pignons set et façades sont  en briques, la façade arrière en torchis avec sous bassement en briques (mais parfois tout en torchis),

– La toiture est en chaume avec 4 rangées de tuiles en bordure (sauf la partie au dessus  de la cuisine qui est totalement recouverte de tuiles),

– D’un trottoir en briques posées de champ, en grès de pavage ou simplement du gravier.

* La partie Intérieurement se compose

– D’un corridor central. Il conduit directement à l’entrée de la cuisine :

Elle sert à la confection et à la cuisson des breuvages destinés aux bestiaux,

Elle Contient quelquefois le four à pain  (mais il se trouve souvent dans un petit bâtiment séparé appelé fournil),

Son Sol est en terre battue.

– A droite et à gauche du corridor :

Sur le devant se trouve  la pièce principale appelée « maison » : La famille s’y tient, fait ses repas,.

Plusieurs petites chambres sont aménagées autour de cette pièce :

La plus grande chambre est souvent appelée « la voute » car elle se trouve sur la cave (qui n’est jamais voutée. Son sol est planchéié, et est plus élevée de 4 à 5 marches car la cave n’est pas creusée profondément (à cause de l’humidité du sol).

Les autres chambres sont plus petites, avec sol en terre battue ou carrelée.

La partie d’habitation ne comporte pas d’atelier, de granges.

Des étables ,pour le logement du petit bétail, sont souvent attenantes mais ne communiquent pas avec la partie habitation.

Cette maison (de ferme) loge environ 9 personnes :

– le fermier, sa femme, 4 enfants en moyenne,

– un domestique (« le carton » chargé de conduire les chevaux),

– mais aussi parfois un jeune domestique de 13/14  ans (« le goujat » chargé de faire le gros ouvrage et de donner à manger aux bestiaux)

– et aussi une servante.

Le carton et le gouja dorment dans l’écurie.

Les autres personnes dorment dans la maison.

 

Deuxième type

cour de ferme

La ferme est  spacieuse et carrelée.

Elle comporte 3 à 4 places carrées ou rectangulaires (suivant l’importance de la ferme), parfois indépendamment d’un vaste fournil (utilisé comme cuisine en été) . Celui-ci qui y est attenant  ou est séparé de l’habitation hivernale par une cour appelée réfectoire

Une comporte une deuxième  salle à manger, un salon et une grande chambre édifiée sur voûte : c’est la chambre d’honneur.

Il y a des lits partout sauf dans le salon (surtout si la famille est nombreuse et composée d’enfants des 2 sexes).

Les alcôves des servantes sont au réfectoire ou à la mansarde, tandis que celles du personnel  agricole dans les étables.

Les appartements ont de grandes fenêtres avec une hauteur de 3 à 4 mètres, bien aérés, tapissés, garnis et meublés et une aisance relative.

La cave est sous la chambre d’honneur.

Dans les grandes exploitations, il y a une cave pour le lait et le beurre et une pour le fromage (suivant la fabrication locale) exposée au Nord sous une autre partie des bâtiments.

Aux extrémités des habitations,  se trouvent souvent les écuries et les étables avec, en dessous, une citerne à purin. Ils servent à protéger l’habitation des intempéries.  Dans cette ligne de construction se trouve ordinairement la fosse à fumier avec, à gauche et à droite, des granges, des hangars, des fenils, des poulaillers, des étables à porc, à poulains, à veaux, à bêtes grasses, … ou un fournil, le tout formant une cour ouverte au Sud.

 

Pour conclure, Il ne faut pas  oublier

Quelque soit la ferme, on y naît, on y vit, on y meurt.

 

Hervé

Histoire du Virolois : Cuisine, les repas d’Hier et d’Aujourd’hui, l’oignon

Bonjour,

Avez vous aimé ma recette de lentilles d’il y a 2 semaines ?

Ce soir, au menu : des Oignons (vous verez , il y a des recettes anciennes)

rue du Prince 4. Menu 1895

 

L’oignon au fil du temps

Le terme « ognon » est apparu dans la langue française en 1273. La forme définitive,« oignon », apparaîtra au XIVe siècle. Le mot vient du latin populaire uniounionis qui, en Gaule, a éliminé caepa (d’où viennent « cive », « ciboule », « civette », « ciboulette »), mot employé jusque-là pour décrire ce légume. Pourquoi unio? Tout simplement parce que l’oignon est l’une des rares alliacées dont le bulbe ne se divise pas (on parle ici de l’oignon dans le sens étroit du terme, ce qui exclut l’échalote) et est donc uni.

À noter que, selon la nouvelle nomenclature botanique, les plantes du genre Alliumappartiennent désormais à la famille des alliacées, même si on les trouve encore parfois classées comme liliacées ou amaryllidacées.

Oignon, le baron
L’expression « se mettre en rangs d’oignons » n’a pas grand-chose à voir avec les rangées d’oignons du jardin. Elle fait plutôt allusion au fait que le baron d’Oignon, maître de cérémonie à la cour des Valois, avait l’habitude de crier, lorsqu’il assignait leur place aux seigneurs : « Messieurs, serrez vos rangs ». Entre eux, les seigneurs se moquaient des rangs d’Oignon.

Malgré tout, même si on en cultivait déjà quelques variétés au IXe siècle, l’oignon ne sera vraiment populaire en Europe qu’au Moyen Âge. Ce sera l’une des premières plantes européennes à être cultivées en Amérique, d’abord dans les Caraïbes, où Christophe Colomb l’y introduira. Au XVIIe siècle, il est établi dans le nord des États-Unis de même qu’au Canada, où il est cultivé tant par les colons que par les Amérindiens. Les Européens l’introduiront dans l’est de l’Asie au XIXe siècle bien que, dans ces régions, on préfère toujours consommer les nombreuses espèces indigènes qui lui sont apparentées. Aujourd’hui, on le produit dans toutes les régions tempérées du globe et des essais visant à l’implanter dans les régions semi-désertiques sont en cours.Bien qu’on n’ait pas trouvé l’ancêtre sauvage de l’oignon, son premier centre de domestication pourrait être le sud-ouest asiatique. C’est d’ailleurs certainement l’un des légumes les plus anciennement cultivés. On en fait mention dans des textes de l’Égypte antique datant de plus de 4 000 ans, ainsi que dans la Bible où l’on rapporte que, durant leur exode (1 500 ans avant notre ère), les Hébreux pleuraient son absence, de même que celle de l’ail et du poireau. En Grèce et à Rome, on en cultivait déjà de nombreuses variétés. Les Romains lui consacraient même des jardins particuliers, les cepinae.

Description

L’oignon est une espèce herbacée, vivace par son bulbe unique, cultivée comme une annuelle ou bisannuelle (floraison la deuxième année). C’est une plante haute de 60 à 100 cm, dont les feuilles de couleur verte sont cylindriques, creuses (ce qui distingue cette espèce du poireau et de l’ail, autres espèces cultivées appartenant aussi au genre Allium). La tige florale dressée est également creuse. Elle présente un renflement vers sa base.

Les fleurs petites (de 4 à 5 mm de large), de couleur blanche ou verte, sont regroupées en une ombelle sphérique, en position terminale sur la tige. Les fleurs ont une symétrie trimère, à trois sépales, trois pétales et six étamines. L’ovaire unique est divisé en trois loges. Le fruit est une capsule s’ouvrant par trois valves, libérant chacune généralement deux graines.

Chez certaines variétés, il arrive que des bulbilles se développent à la place des fleurs.

Cette plante possède un bulbe qui lui permet de se reproduire.

 

Le bulbe est relativement gros, de forme sphérique, parfois plus ou moins aplati.

Les différentes variétés

Les variétés d’oignons sont généralement classées, du moins en France, selon la couleur du bulbe :

  • oignons blancs :
    • blanc de Paris,
    • blanc très hâtif de la Reine,
    • oignon cébette.
  • oignons jaunes (ou “paille”) :
    • oignons doux des Cévennes,
    • oignons doux de Trébons (Hautes-Pyrénées ou 65),
    • jaune paille des vertus (autrefois, spécialité horticole de la plaine des Vertus à Aubervilliers),
    • jaune doré de Mulhouse.
    • oignons doux de Lézignan, dans l’Hérault
  • oignons rouges :oignons rosés de Roscoff (couleur rosé cuivré, queue de 5 cm qui dépasse du bulbe). Les marchands d’oignons de Roscoff sont appelés les « Johnnies ».
    • rouge de Brunswick,
    • rouge gros plat d’Italie
    • oignon allongé (également nommé échalion) à ne pas confondre avec l’échalote.

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oignon rosé de Roscoff

 

La suite de l’article a été écrit à partir du Blog « La cuisinedu19siecle.wordpress.com »

 

LES OIGNONS , AUGUSTE RENOIR .

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CHAPELET D’OIGNONS , 1850, PHOTO DE HENRI LE SERCQ

Les oignons ont été et sont toujours les légumes le plus consommé dans ce monde, connu depuis la nuit des temps et originaire de l’Asie, on en trouve trace en Europe dès la naissance de la civilisation.
Ne dit-on pas que dans la guerre entre les dieux et Jupiter, arrivé au bout des terres les vaincus pour échapper au courroux de celui-ci se sont transformés en oignons .
Base de la cuisine en Haute-Égypte où on a retrouvé des exemplaires dans les mains embaumées de certaines momies, il était la base de cette cuisine antique et l’est resté .
Tout comme à Lyon on imagine pas une cuisine sans oignon, on imagine pas les cuisines du monde sans oignon .
Très apprécié des marins et des crève-la-faim qui hantaient les routes de l’Europe du moyen Âge, car très bon marché, d’une conservation plus longue que l’ensemble des autres légumes en toutes circonstances, il permettait par sa consommation crue de calmer la faim en toutes circonstances et cela si même on déconseillait de le manger cru, car indigeste et donnant mauvaise haleine paraît-il, ventre affamé n’a pas d’oreille dit-on aussi

 

CARTE RÉCLAME CHOCOLAT LOUIS , FIN DU 19è

Un ancien raconte cela :

“Ma chère mère mangeait un oignon cru par jour , comme elle avait vu faire son père ,et lui attribuait toutes les qualités pour une longue vie, cette pratique a presque complètement disparue et c’est dommage, car c’est toujours un légume qui,mangé cru à beaucoup de qualité pour lutter contre les problème liés à notre vie moderne agitée .
Au 19e siècle, la livre d’oignons valait vers les années 1850 de 10 à 20 centimes ( à comparer aux pommes de terre qui valaient plus du double.) et il existait plus de 100 variétés commercialisées sur les marchés, souvent saisonnière ou régionale ; des classiques comme l’oignon rouge pâle ou l’oignon blanc de hollande, mais aussi de variétés oubliées comme l’oignon patate, l’oignon de Rocca ou l’oignon jaune soufre ou encore l’oignon blanc de la reine .”

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MAXIME DES VENDEURS D’OIGNONS DU MOYEN-ÂGE, QUI SIGNIFIE QUE POUR VENDRE DES OIGNONS, IL FAUT TOUT CONNAITRE SUR LE MÉTIER .

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Les oignons se divisaient en quatre catégories .
L’oignon blanc ( gros, moyen, petit)
L’oignon jaune ( gros)
L’oignon rouge pale ( rond , plat , piriforme )
L’oignon rouge noir ( plat , piriforme , rond )

 

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THE ONIONS FIELD , PHOTOGRAPHIE DE GEORGES DAVISON , 1854-1930 , PHOTOGRAPHE ANGLAIS .

Pour vous mettre en appétit voici la version d ‘A Dumas de la conquête de l’Angleterre par les oignons bretons, il faut dire pour débuter que les Anglais avaient des oignons que l’on considérait sans goût en France.
“La pointe de l’Armorique ( la Bretagne) était et est toujours une terre dédiée au bulbe, c’est en effet à Roscoff que l’on trouvait la plus grosse concentration de culture d’oignons de qualité, au 19e siècle. Roscoff envoyait plus de quarante vaisseaux chargés d’oignons en Angleterre.

Est que c’est parce que les Anglais n’avaient pas d’oignons, non bien sûr, mais bien grâce à l’audace d’un Roscovite.

Un beau jour du début du siècle, cet homme se présenta à Monsieur Corbière ; auteur de plusieurs romans maritime, demeurant à Roscoff et lui demanda comment on disait en anglais : « L’oignon anglais n’est pas bon ».

.Celui à qui l’on venait de demander ce renseignement répondit : « The english oignon is not good ».
« Soyez assez bon pour me mettre cela sur un papier, monsieur, » demanda le Roscovite,

M. Corbière s’exécuta, le Roscovite le remercia et trois jours plus tard on le vit partir pour Londres avec un sloop chargé d’oignons .

Arrivé dans la capitale britannique , il alla droit au marché le plus fréquenté, déploya une pancarte sur laquelle on pouvait lire en grosses lettres la maxime suivante : « The english oignon is not good » . Et au-dessous de sa pancarte, il amena une pleine charrette d’oignons français.

On connaît les Anglais ; il n’était point homme à supporter un pareil affront. L’un d’eux s’approcha et adressa la parole au marchand étranger ; celui-ci ne savait pas un mot d’anglais, se contenta de répondre : « The english oignon is not good ».
Cette réponse exaspéra l’anglais ; il s’approcha en étendant vers lui ses deux poings. Le Roscovite ne savait pas ce que l’anglais voulait dire , mais voyait bien qu’il était menacé . Il prit l’anglais par le coude et lui imprimant le mouvement d’une toupie, lui fit faire trois tours sur lui-même et au bout du troisième celui-ci tomba ; il se releva furieux, et revint sur son adversaire toujours en garde.

 Le Roscovite avait près de six pieds de haut ( un mètre quatre vingt ); il était vigoureux comme son Dieu Teutadès ; il le prit à bras le corps, l’enleva entre ces bras, et le jeta à plat ventre .
C’était contre toutes les règles de la lutte ; il faut que les épaules touchent la terre pour que l’un des combattants soit déclaré vaincu .
Aussi le Roscovite reconnut-il qu’il avait eu tort. L’anglais revint donc vers lui et il fut promptement jeté à terre et ces deux épaules touchèrent terre ; « assez, assez cria l’anglais » .
Alors les cris, les hourras, les bravos éclatèrent; les Anglais sont, sous ce rapport les plus appréciateurs du mérite qu’il y ait au monde ; ils voulurent porter le marchand d’oignons en triomphe. 
« Non, non pas ! » s’écria celui-ci en se mettant en défense,  « pendant que vous me porteriez, vous me voleriez mes oignons . » Il avait du vrai dans se que disait le pauvre diable aussi acheta-t-on le même jour tous ses oignons, et les soirs furent-ils tous entiers employés à le porter en triomphe .

 À partir de ce moment , les oignons français eurent conquis leur droit de bourgeoisie en Angleterre “
A.Dumas 1867.”

 

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 LE FAOUET EN BRETAGNE , MARCHANDE D’OIGNONS , 1912, CHARLES L’HERMITTE.

 

Recettes anciennes

RAGOUT D’OIGNONS .
Faites cuire des oignons sous la braise chaude sans les éplucher ; quand ils sont cuits, pelez-les proprement ; mettez-les dans une casserole et mouillez-les d”un coulis clair de veau et de jambon, laissez mitonner ; quand ils sont mitonnés et presque secs, assaisonnés et liez-les avec un peu de roux délié au coulis.
Ajouter une cuillère de moutarde et servez..

BOUILLI À LA PURÉE D’OIGNONS.
Préparez votre bouilli comme de coutume avec la pièce de viande entière , une fois cuit divisez là en grosses tranches, coupe très fin des oignons en travers et les mettre à cuire à petit feu avec un peu de beurre, laissez-les bien suer , dans une poêle ou une casserole .
Une fois qu’ils sont blonds, y mélanger une cuillerée de farine et mouillez avec la cuisson du bouilli . Laissez cuire pendant dix minutes et ajoutez alors les tranches de viande et un peu de moutarde , enfournez en couvrant et laissez cuire à feu doux pendant une heure .
Au nomment de servir on arrose d’un filet de vinaigre et l’on parsème de ciboules hachées
LA CUISINE À L’USAGE DES MÉNAGES BOURGEOIS ET DES PETITS MÉNAGES ,BARON LÉON BRISSE 1884.

 

TOURTE AUX OIGNONS .
Abaissez une pâte des rois à six tours ( pâte feuilletée ) la placez dans un moule à tourte plate et la précuire pendant 15 minutes à four à papier jaune ( 160 degrés), ne pas oublier de placer des haricots sur le fond pour que la pâte ne monte pas trop ; Pendant ce temps-là faites suer des oignons jaunes que vous aurez émincés fins en rondelles, une fois blonds les retirer . Ajoutez une ou deux cuillerées de crème aigre, bien amalgamer le tout en assaisonnant de sel, poivre et noix de muscade .
Retirez la tourte du four une fois précuite, enlevez les haricots et remplir avec les oignons, remettre à cuire à feu doux pendant 20 minutes, et servez chaud ou tiède .
Cette recette est propre à l’est de la France et au nord où on l’appelle flamiche .
CUISNE MESSINE, E. AURICOSTE DE LAZARQUE 1890

 

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MARCHANDE D’OIGNONS A NICE, 1900, HENRI LEMOINE 1848-1924.

Bonne appétit,

A bientôt

Hervé

Histoire du Virolois : Cuisine, les repas d’Hier et d’Aujourd’hui : 1er article

Bonjour,

Voici le 1er article qui va rejoindre la page Cuisine, les repas d’Hier et d’Aujourd’hui :

Que mangeait on à la cantine scolaire en 1900 ?

Voici un exemple de menu :

menu ecole 1900

Comme il y a des lentilles au menu, j’ai réalisé 2 pages expliquant ce qu’est la lentille et son histoire

Histoire du Virolois La lentille-1

Histoire du Virolois La lentille-2

A bientôt

Bon appétit

Hervé