Histoire du Virolois : une petite pause le temps d’écrire et de chercher

blog en pause

Bonsoir,

vous nous retrouverez le 02 mai dans la soirée

D’ici là nous allons faire des recherches, préparer quelques articles, préparer des projets, …

N’hésitez pas à lire et relire les différentes pages du blog, à le faire connaitre et les partager, à nous envoyer les résultats de vos recherches , de vos rencontres.

Les mails seront réguliérement lus.

Merci de votre fidélité et de votre contribution.

A trés vite

Hervé et toute l’équipe “Histoire du quartier du Virolois de 1850 à …”

Histoire du virolois : 1 nouvelle image dans l’album “Images du passé”

Bonsoir

1  nouvelle image a été ajoutée dans l’album “Images du passé” : Président DE GAULE à Tourcoing rue du Tilleul (Transmise par Faciladir)

et son commentaire

c’était le 28 septembre 1959 !  passage du Général de Gaulle (président de la république) rue du Tilleul. Il était arrivé à la gare pour rejoindre l’hôtel de ville. Les écoliers tourquennois étaient placés sur les trottoirs le long du passage du véhicule officiel et avaient reçu chacun un drapeau bleu, blanc, rouge, pour accueillir le chef de l’état .

 

“Mon mari(que je ne connaissais pas  l’époque, bien sûr) mais qui fréquentait également une école de Tourcoing, s’en souvient parfaitement aussi, et particulièrement des petits drapeaux que nous agitions” Jacqueline

 

C’est cette année 1959 que nous sommes passé des anciens francs aux nouveaux francs. ”

Degaulle Tourcoing

Histoire du Virolois : les commerces de la rue des Piats

Bonsoir,

 “les anciens en parlent ! témoignages transmis par un blog ami ….”

“J’ai souvenir qu’en face de la gendarmerie il y avait une boucherie chevaline.

J’y allais moins que chez  l’autre boucher qui s’appelait je crois Eugène (mais je ne sais plus son nom de famille) et qui avait un accent particulier. Il  était installé plus haut, côté gendarmerie en effet, dans la partie de la rue des piats située entre la rue du Touquet et la rue du Caire.Je me rappelle très bien de lui, avec son crayon sur l’oreille. Il était très gentil, plaisantait beaucoup  et offrait souvent une rondelle de saucisson aux enfants que nous étions. Je me rappelle de son billaud, de son étal, du magasin.

Est-ce que quelqu’un se souvient des vieilles soeurs demoiselles PAPIN,  LAURE et CELINE qui tenaient l’épicerie plus haut dans la rue des piats (sens Croix Rouge vers Pont du Tilleul), sur le trottoir de droite avant la rue du commandant Driant ? Je me rappelle qu’elles vendaient au poids des bonbons emballés unitairement dans un papier brillant avec un chat dessus et que j’adorais. Du caramel et au coeur il y avait un mélange de je ne sais quoi mais bien bon ….. Tous les bonbons étaient présentés dans des gros contenant en verre transparent, de forme hexagonale, debout avec un gros bouchon à visser. Les épices et le café étaient dans les tiroirs de meubles en bois foncé.

M.T.V.

J e me souviens très bien du boucher Monsieur Eugène SIX et de sa gentillesse avec les enfants. 
Merveilleux souvenirs de ce quartier et des autres commerçants de la rue des Piats : la boulangerie VALEYNSEELE , la librairie de Madame RAMETTE ou j’allais toutes les semaines acheter modes et travaux pour mamère qui tricotait beaucoup.Nostalgie d’une époque révolue ! 

T.R.

La Boucherie dont je parlais était celle qui se trouvait près de l’angle PIATS/JEAN LEBAS, en face de chez Ramette ... Elle était tenue par CLARA ou CLAIRE DEWEER, ma grand’tante, … et ma maman ODETTE, la nièce de CLARA, y servait souvent … 


Quant à moi, je suis resté dans la région, puisque j’habite LEERS, … où j’ai d’ailleurs retrouvé Daniel CLEMENT qui habitait rue de RENAIX à coté du magasin de vélos BOUFFIOUX.

 

A.G.

Si Mme Clara DEWEER était bouchère dans les années 1950, alors je me souviens. J’y allais aussi et le détail qui me revient en mémoire, c’était ses mains ; elles étaient toujours rouges et enflées et elle devait en soufrir. Cette dame était gentille et parlait avec 1 léger accent. 


Daniel CLEMENT, je me souviens et aussi de la famille GILET, on fréquentait le même patro et j ai des photos de colo à Conteville en 1954 où elles figurent. 
Je prenais la rue de Renaix tous les jours pour me rendre à l’école . 

T.R.

Je me souviens trèsbien de la Boucherie de Monsieur Eugène SIX puisque celui-ci était mon beau père et aussi de la Boucherie de CLARA en face de la Librairie RAMETTE.

De1961 à 1991, j’ai habité juste à côté de la Librairie. Odette était la Maman d’Isabelle la meilleure amie d’enfance de ma fille Catherine.

A l’époque il y avait beaucoup de commerces rue des Piats ; à partir de la rue du Caire il y avait l’Epicerie DEHONDT, en face le débit de tabac qui existe toujours, MadameHOLVOET photographel’herboristerie FONTAINE, la boulangerie VAN LEYNSEELE, la maison NOLF, la quincaillerie SELOSSE, le marchand de légumes BRUNEEL, la poissonnerie, la boucherie chevaline, l’assurance à côté, le coiffeur , à côté de chez moi un petit marchand de chaussures dans une maison particulière où Clara a habité après sa retraite et encore bien d’autres. Souvenirs, souvenirs !!! 

entre la boucherie et le photographe il y avait aussi une parfumerie et bijoux fantaisies et en face sur le coin de la rue de Renaix le magasin ANETT blanchisserie tenu par Mme SABBE

M.T. S”

Histoire du Virolois : les commerces de la rue du Touquet

Bonsoir,

“les anciens en parlent ! témoignages transmis par un blog ami ….”

“Rue du Touquet

 il y avait un débit de boissons et une mercerie (dans les années 1950) tenue par Madame BOSSU.

Je pense que la boulangerie a du s ‘installer après.

Sur le même trottoir, avant le croisement avec la rue des Piats, il y avait un autre débit de boissons ; là, régulièrement, le brasseur venait livrer sa bière avec une charette tirée par 2 chevaux.Je passais toujours en courant ces jours-là … j’avais peur de recevoir une ruade ,car les chevaux ,quelquefois impatients d’attendre, raclaient le sol et faisaient beaucoup de bruit. 

T.R.

En ce qui concerne la rue du Touquet, je me souviens très bien de presque tous les commerces puisque je suis née rue d’Orléans où j’ai habité quelques années et ensuite rue du Touquet.Je suis la fille de Madame BOSSU qui tenait la mercerie.

En venant de la rue des Piats sur la droite il y avait sur le coin le café PALMYRE puis un peu plus loin rue du touquet une petite buvette où le brasseur venait livrer avec des chevaux, plus loin la mercerie de ma Maman, un peu au dessus le boulangerie LAGACHE puis le café PANNECOUCKE et encore plus loin avant la rue Lavoisier l’entreprise SIMON carrelages


Toujours en venant de la rue des piats sur la gauche, à l’angle la quincaillerie SELOSSE, au dessus il me semble dans une petite maison particulière un petit cordonnier, à l’angle de la rue de Rome la COOPERATIVE,

Sur le même trottoir avant la rue d’Orléans un vannier Mr DEKENS et ses 2 fils, sur le coin de la rue d’Orléans une épicerie VANASSCHE, reprise par la suite par Mme DERMAUT,

Après la rue d’Orléans la Cordonnerie dont le monsieur était handicapé ( je ne me souviens plus le nom ) ensuite la maison VAN MEENEN pain d’épices dont le siège était je crois rue Augereau et entre la rue Lavoisier et la rue Jeanne d’arc il y avait aussi une boucherie. 
L’épicerie  DESPRETS était je crois rue des piats à côté de la Cour St louis.

Voilà tout ce dont je me souviens peut être en ai-je oublié ! Dans ce temps là, les rues des piats et du Touquet étaient fort commerçantes, maintenant il n’y a pratiquement plus rien. 

MT S.

 

Je continue la visite de la rue.

On en était arrivé rue Jeanne d’Arc.

Reprenant le trottoir de droite, après la rue de l’Epine, on tombe sur la cotonnière du Touquet …

Je crois. Ce qui me frappait à chaque fois, en rentrant de l’école, c’étaient les ouvrières de l’usine ; l’été, elles mangeaient leurs sandwichs dehors sur le trottoir ; leurs cheveux étaient remplis de fibres de laine.

Sur la gauche à l’angle de la rue de Bouvines, se tenaient les Ets Blain et un peu plus loin, le café “Les 3 Cloches “;

Revenant à droite, la rue Augereau ; après l’angle, l’épicerie tenue successivement par les demoiselles COMYN, Mr et Madame DUJARDIN et Mme KATARZINSKI.

A la suite,le cercle St Jean Baptiste où avaient lieu, entre autres, les repas des Kermesses annuelles, et aussi les joueurs de bourles ;

A côté, le presbytère et la salle paroissiale. Ensuite l’église St Jean Baptiste.

Face à l’église, les carrelages DUJARDIN et l’épicerie WILLEMS à l’angle de la chaussée Berthelot.

Après cela, trottoir de droite, la boucherie BOTTEZ. A cette époque, la rue se terminait en impasse côté boucherie , mais à gauche, débouchait la rue des Trois Pierres. J’ai sans doute oublié quelques usines sur la route, car il y en avait plusieurs dans cette partie-là de la rue.

 

T.R.

En ce qui concerne la rue du Touquet après la rue Jeanne d’Arc, sur le coin de la rue du Touquet et la rue lavoisier il y avait aussi une usine (FLIPO) ainsi que sur le coin de la rue du Touquet et Jeanne d’arc l’usine LEURENT je crois,  en face de la cotonnière. Rue de Bouvines ( REQUILLART).”

 

Histoire du Virolois : fier d’une cheminée

Bonsoir,

Voici 4 témoignages de cheminée :

1 de Faciladir

Une cheminée de la fenêtre du grenier.

Je la voyais lorsque j’ouvrais la tabatière du grenier de mes parents au 2ème étage rue du Caire à Tourcoing et que je tournais la tête à droite. Elle apparaissait au bout de l’alignement des conduits de cheminées de toutes ces maisons d’ouvriers et faisait partie du paysage. Je pense qu’il s’agissait de celle de l’usine qui s’appelait à l’époque Lepers-Duduve (entrée rue des Piats mais il y avait aussi une entrée rue du Caire ; il me semble qu’il y avait un autre nom sur la plaque informative à cet endroit ; je sais pourtant qu’il y avait un passage de l’une à l’autre) où a travaillé mon père jusqu’à sa fermeture, sur laquelle les Transports NUTTIN se sont installés ensuite pour faire place à présent au lycée Le Corbusier. Cette cheminée devait être visible de la rue du Caire à un certain endroit mais à l’époque ce n’était pas remarquable. Il y en avait partout. En tout cas j’ai pris cette photo, de piètre qualité mais souvenir, que j’ai ressorti d’une boîte aujourd’hui.”

cheminée contre maisons rue du CAIRE 1973

 

et 3 de moi

“La cheminée PJ Leurent

 

Depuis que je suis arrivée dans le quartier, j’ai tout de suite remarqué cette cheminée.
C’est comme un repère. Je sais qu’elle est situé presque à une des extrémités du quartier vers Wattrelos.
Elle se remarque de partout.
Depuis la transformation de l’ancienne usine Mallard en espace vert,  elle se remarque dés que l’on arrive à coté de « son ancienne collègue », la cheminée de Christory rue de Renaix. Elle a dû en vivre des aventures depuis sa construction en 1901. Si elle pouvait parler et nous les raconter pour les transmettre aux plus jeunes.
Elle doit être fier que les nouveaux propriétaires du « 92 la filature » ai décidé de lui redonner une nouvelle jeunesse et lui permettre de vivre encore un peu.”

cheminée PJ Leurent 2

 

“La cheminée Malip (ancienne usine Leplat).

Cette cheminée témoigne, qu’au milieu des habitations,  il y avait des usines où les habitants allaient travailler.
Elle marque le début du Virolois (quand on arrive de la Croix-Rouge.)
De cet endroit, on se rend bien compte que Tourcoing est une ville vallonnée : à gauche la rue Duguay Trouin  descend nettement vers la rue des Piats et à droite le rue de Guisnes descend vers la rue JB Lebas (ancienne rue du Collecteur où naguère coulait un petit ruisseau) avant de remonter vers la rue Winoc Chocquel et la gare. ”

la cheminée Malip Leplat

 

” La cheminée de la retorderie rue de Guisnes.

J’aime cette cheminée car elle ne paye pas de mine (un arbre à papillon pousse à son sommet depuis de nombreuses années) .Pourtant elle rappelle qu’à cette endroit il y avait en une retorderie vers 1900.
Elle se dévoile au détour du jardin botanique ou de la traversée verte en court de construction.
Elle se fait discrète à côté de sa grande sœur de Chritory.
Elle en a vécue des aventures depuis sa naissance (le site a changé plusieurs fois d’utilisation).
En ce moment, elle doit se demander si les nouveaux occupants (des futurs lofteurs) vont la garder et lui refaire une jeunesse ou la détruire comme beaucoup de ses anciennes collègues.”

cheminée retorderie